En vert pour voir la vie en rose

Une fois le bilan fait de ce que nous coûte l'habitat traditionnel en énergie, en eau et en dépendance ceci ajouté aux fluctuations du prix de ces ressources, il est sage de se poser la question du changement de forme d'habitat pour essayer de retrouver une certaine liberté.

Même sur de petits espaces, il n'est pas si dément que ça de faire cohabiter le potager et le verger, voire les fleurs qui attirent les insectes. Les feuilles laissées sur le sol, les restes de culture replacés comme couvert, favorisent la faune épigée. Cette forêt reconstituée limite l'évaporation et le travail du sol.

Une méthode de culture, potagère le plus souvent consiste à imiter la nature et à rendre et conserver le sol vivant. La plante est maitresse du jeu. C'est pourquoi on essaie de garder un couvert végétal en permanence. En l'absence de plante on couvre le sol de mulch. On cultive aussi directement sur paillis et on peut cultiver sous couvert végétal...

On peut aussi optimiser le poêle à bois de façon à obtenir autant de chaleur avec moins de bois (ou de matière) et on se demande bien pourquoi un tel poêle n'est pas commercialisé.

Manger pour vivre c'est se nourrir en mangeant. Ce qui signifie trouver les nutriments INDISPENSABLES dans l'alimentation, pour vivre bien en évitant d' être malade.

Nous avons la responsabilité pour nos enfants et pour les êtres vivants de cette terre de la respecter, de la préserver afin de leur transmettre ce qui nous a été confié.